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mercredi 12 octobre 2011

Défacebookisation : phase blackberry

Je suis content de savoir que mon appel à la défacebookisation ait été relayé par le monde entier. À aucun moment, j'aurais pu imaginer que mon simple blog puisse lancer un mouvement contre l'addiction aux sites de socialisation et toutes ces minutes perdues dans ma vie de tous les jours. Et surtout, être suivi par une grande marque de téléphones intelligents, je suis ébahi.

En effet, je suis fier d'apprendre qu'après la lecture de mon billet sur ma volonté de fuir la nouvelle mise à jour du célèbre site Facebook, les cueilleurs de mûres ont décidé de me suivre, et d'aider l'ensemble des détenteurs de leurs produits dans leurs démarches. Imaginez-vous que Marlboro décidait de vous vendre des paquet sans cigarettes, c'est la même chose.

Je suis absolument émerveillé et bluffé de savoir que j'ai pu déclencher un mouvement d'opinion aussi efficace au niveau européen ou encore nord-africain. Je ne peux que chaleureusement remercier pour ce soutien immense fait à toutes ces victimes de la société cybernétique. Mille fois, merci, Blackberry.

Grâce au génie des informaticiens, je suis surpris chaque soir en ouvrant ma boîte e-mail. J'ai de nouveau plein de messages non lus. Je suis ébloui de lire le journal, car je n'avais pas eu les informations 24h plus tôt grâce à mon compte twitter. Et je me surprends même à allumer la télévision pour voir si je n'ai pas manqué quelque chose d'important.

C'est un petit peu un retour dans les années 2000, nous avions des gsm où la communication coûtait tellement cher la minute, que nous envoyions des sms. Nous l'avions avec nous, au cas où quelqu'un nous envoyait un petit mot gentil ou nous appelait, mais nous ne nous en servions pas. J'ai l'impression d'avoir rajeuni de dix ans.

Tiens, c'est tout juste si je savais que j'avais des jeux sur mon BB. Waouw, j'ai le poker, la patience et j'ai même un BrickBreaker. Je n'avais plus testé ce genre de truc depuis Arkanoïd sur mon atari 800XL. Et j'ai même une calculatrice ou mieux, attention : j'ai un sudoku. C'est fou, je n'avais même pas remarqué en deux ans de vie commune.

Ce qui est très agréable, c'est que je me sens parfaitement zen. Il y a du soleil, les filles sont jolies, les premières neiges sont arrivées sur les sommets, j'ai rencontré lady gaga, je me suis fait dragué par Lady G, et nous avons fait une sex-tape. Mais en fait, c'est vous qui y perdez, parce que je n'ai pas pu la poster sur youtube.

Bon, j'avoue, je commence à un peu à avoir la tremblotte. Déjà que leur fameux bouton «touchpad» fonctionne une fois sur deux, maintenant, je ne peux même plus partager mes exploits sexuels avec une star du showbizz que tout les hommes de l'univers aimeraient pouvoir contempler au bout de leur sexe dur et droit. Je l'ai fait, et je ne peux pas le montrer à la galaxie?

D'aucuns me diront, mais ce n'est pas grave, tu le posteras demain. Mais non, c'est foutu. J'ai rendez-vous avec quelqu'un d'autre, moi. Et puis, il suffit qu'un journaliste croise la célèbre Gaga pour que je sois traité de menteur et que la haine des médias se déchaînent sur moi au travers de Twitter, FB ou pire Morandini.

Et je ne pourrais même subir les foudres de la toile en direct. Je ferais le buzz et je ne serais même pas au courant. Je n'aurais pas mes lunettes de soleil, et qui sait, je n'aurais peut-être même pas mon BB à la main. Je ferais la une des journaux en has-been alors que j'ai couché avec Lady Gaga. Ma carrière de toy boy serait déjà ruinée.

Je veux uploader les photos sur mon mur, je veux que les internautes twittent «@dreamsandmoods is the new mayor of Lady Gaga», je veux être tagué partout, je veux sortir des limousines, je veux toucher les seins de Madonna pour voir s'ils sont vrais, je veux me faire gnougnougnafier par Britney Spears.

Je veux mon Bbééééééééééééééééééééééééééééééé. Vite, pitiéééééééééééééééé. Je n'en peux plus: je ne sais pas ce que font mes friends en cet instant précis. Mais que lisent-ils, que voient-ils? Est-ce qu'ils sont tranquillement au bureau pendant que je batifole? Est-ce que les filles se caressent en pensant à moi, et espérant être à la place de Lady G?

-Tremblements incontrôlables, mouvements compulsifs, yeux révulsés, se frappe la tête contre les murs...
-Docteur, on lui met la camisole?
-Non, faites lui manger une pomme, cela devrait suffire

lundi 3 octobre 2011

Défacebookisation : phase 1

Hier, je vous expliquais que j'avais décidé de me défacebookiser. Évidemment, ce matin, une des premières choses que j'ai fait, c'est de me jeter sur mon site de socialisation et me mettre à geindre en maugréant que je n'ai aucune volonté et que leur nouvelle interface est réellement bien pourrie. Je sais, je me répète.

J'ai réussi à me défaire des tourments de l'alcool, donc je me dis que c'est possible de devenir Fbaholic abstinent. Je suis même complètement passé à Linux depuis plus de deux ans et je n'ai même plus de partition windows depuis. Donc se passer d'ouvrir la page FB devrait être tout à fait faisable.

Nous sommes bien d'accord que je n'ai pas décidé de quitter ma vie virtuelle sociale, et que j'aimerais tout de même rester connecté. Dans mon billet «je quitte facebook», j'avais expliqué ce que je recherchais comme type de socialisation. Je pense que ce qui est le plus proche de mes besoins actuel est Google+.

Je vais donc le configurer (presque) à ma guise. Je sais que j'ai quand même envie de donner des nouvelles à mes amis de FB qui ne sont pas encore sevrés, donc la première chose que je vais faire, c'est m'assurer que je peux poster depuis G+. Franchement, c'est hyper simple. Qui l'eut cru? En fait FB vous fournit une adresse où poster depuis votre mobile.

  • Poster sur FB depuis Google+ :

    • récupérer son adresse personnelle FB https://www.facebook.com/mobile/

    • créer un cercle FB dans laquelle on ajoute cette adresse

    • poster à ce cercle en indiquant bien de l'envoyer par mail, vu que cette adresse n'a pas de compte Google+

Maintenant, c'est vrai que tous mes amis ne sont pas des geeks comme moi et n'ont pas encore décidé de quitter le site de Mark Montagnedesucre. Et j'ai quand même envie d'avoir de leurs nouvelles. À nouveau, c'est très simple.

Ça y est, maintenant, je peux enfin quitter facebook et parvenir à tenir le coup sans aller dans cet onglet du diable qui me tente à glandouiller toute la journée... Malgré tout, je suis toujours connecté au monde du web. Seulement voilà, je me fais chier comme un rat mort, parce que rien ne se passe sur G+. Donc, maintenant, il va falloir aider mes amis à venir me rejoindre.

La première chose, c'est que si je trouve que c'est mort, et bien je n'ai qu'à rendre le flux vivant. Un peu comme dans une soirée où il n'y a pas de musique, et bien je décide d'amener une sono, de brancher mon ipod, et de faire danser les gens. Comme tout le monde a son ipod, les apprentis DJs se relaient pour réaliser une soirée mémorable.

Vous connaissiez le bouton «like» et bien, passez au bouton «+1». C'est exactement le même principe. D'un côté, il donne des infos à Google pour connaître vos goûts, et de l'autre, il anime le flux de vos amis G+. Par contre, il est important de signaler qu'il faut rester quelques instants sur le bouton afin qu'apparaisse la possibilité de partager sur G+.

Le gros avantage de G+, c'est sa sobriété. Je pense que cela peut me donner satisfaction par rapport à ce que je recherche dans un réseau social. Maintenant, c'est certain que chacun voit un petit peu midi à sa porte et les goûts et les couleurs ne se discutent pas. Par contre, c'est une belle opportunité pour tous ceux qui, comme moi, en ont marre du nouveau Facebook.

C'est peut-être un pas en arrière pour beaucoup de geeks, mais je me retrouve parfaitement dans cette simplicité : le partage de photos, les news et les potins. Si chacun d'entre nous réussissait à faire migrer deux de ses potes par jour, en un mois, nous aurons même oublié ce que nous sommes venus faire ici.

Et si toi aussi, cher lecteur, tu trouves que c'est une solution tout à fait respectable pour se défacebookiser, et bien...

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dimanche 2 octobre 2011

Je quitte Facebook

Aujourd'hui, c'est décidé : je quitte Facebook. J'en ai marre de la nouvelle interface, je n'en peux plus de tous ces clics à faire pour suivre mes friends, et j'en passe et des meilleures. Donc, j'appelle la planète entière au boycott de Face de Bouc et évidemment, je sais que tous les êtres humains me suivront comme un seul homme.

Plus sérieusement, je vais faire un essai pour me défacebookiser. Et cela ne va pas être simple, je viens encore de musarder pendant deux heures au lieu d'écrire mon billet quotidien... Parce que, mine de rien, c'est un fameux piège à glande, ce livre des visages. Mais alors, pourquoi donc, mais pourquoi est ce que je veux quitter ce site?

Comme tout le monde, je déteste la nouvelle interface. Et pourtant, j'ai bel et bien essayé de m'y faire, mais non, ce n'est vraiment pas simple de s'y retrouver. Leur «livebrol» ? Il paraît que c'est pour nous donner envie de lire ou d'écouter la même chose que mes amis... Si j'avais envie de cela, il suffirait que j'achète le dernier Marc Lévy et que je me branche sur RTL-TVi. Mais non, impossible.

Moi, personnellement, en tant qu'humble utilisateur de FB, je voulais juste avoir des nouvelles de mes copains et copines. Et, de temps en temps, avoir le choix de lire un article ou regarder une vidéo qu'ils ont trouvé intéressant ou qui les ont fait rire. Une naissance ou un anniversaire, un décès. Bref, juste la vie, les potins. Point à la ligne. Je ne voulais et ne veux rien de plus.

La vie privée? J'ai envie de répondre : «Quelle vie privée?» Je suis analysé sous toutes les coutures comme tout autre consommateur et cela ne me dérange pas plus que ça. Nous sommes dans l'espace public de l'internet, comme dans un bar ou un marché. Je suis épié par des programmes et des humains, donc je ne publie pas les choses qui n'ont pas à être connues.

Il paraît que même quand je me déconnecte du site, il y a des cookies et des scripts qui continuent transmettre des données sur moi. Je suis ravi de savoir qu'un expert boutonneux avec des grosses lunettes sache que j'ai un penchant pour les films avec des hommes et des animaux tout nus qui se mangent mutuellement les excréments. Peut-être que grâce à lui, j'aurai des nouveaux amis? Un peu de sérieux, s'il vous plaît.

Ce qui m'énerve par dessus tout, c'est que c'est Mark Montagnedesucre qui décide des amis qu'il y aura dans mes actualités. Ça me tue que sur les huit cent et quelques «friends», je n'ai ai que trente de qui j'ai des nouvelles... Juste lorgner sur twitter, cela ne lui aurait évidemment pas été possible. Parce que je veux sélectionner moi même.

Donc voilà, je quitte FB. Mais maintenant, je fais quoi? En tant que geek je suis sur Google + depuis le 19 juillet. Super : c'est mort de chez mort. Leur truc des cercles, c'est pas mal. Par contre, pour interagir avec les autres, c'est la galère. Écrire un mot sur le mur ? Envoyer un message ? Partager un article en un clic?

Chez Google, ils n'aiment pas trop le côté fun de FB... Pourtant, merde, j'en voyais un bel avenir à ce G+! J'ai une adresse gmail, un blog, un compte reader, un compte buzz... Avec leur nouvel outil de socialisation, j'aurais pu penser que tout serait relié. Voilà qui aurait été génial : tout dans ma newsfeed! Ah non, cela n'est pas prévu, probablement trop facile.

Bon, je me dis que tout est costumizable et que des férus de programmation auront trouvé des solutions à mes problèmes. Je vais donc dans les extensions de navigateurs, et je cherche. Rien de chez rien. Enfin, si, mais cela revient au même que d'avoir les fenêtres G+ et FB ouvertes l'une à côte de l'autre. Bref, je me répète : rien de chez rien.

Alors, je vais lancer un appel à tous les développeurs du monde entier qui veulent devenir les nouveaux milliardaires de la planète web. C'est très simple, voici ce que je cherche :

  • un flux d'information, sur une page, dans lequel apparaissent :

    • les mises à jour des statuts de mes connaissances

    • les photos et vidéos postées par mes connaissances

    • le flux rss des sites et blogs que j'ai envie de suivre

    • les recommandations de lecture de mes connaissances

  • un «mur» sur lequel les gens que j'ai choisi puissent m'écrire

  • une mise à jour de statut en un clic

  • un partage de mes photos et vidéos facile

  • la màj de mon blog automatiquement reliée

  • aucune application de jeu pourri

En gros, une intégration de G+, blogger, reader, picaweb et buzz. C'est quand même pas bien compliqué un site de networking?

Et si toi aussi, cher lecteur, tu as les mêmes simples aspirations que moi, et bien, alors n'hésite surtout pas à....

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Pour toute proposition de consultance ou d'études, n'hésitez pas à me contacter.

jeudi 29 septembre 2011

#cestjoelle

Ce n'est plus un scoop pour personne en Belgique, mais il est important de le signaler pour mes lecteurs du monde entier : la nomination d'Yves Leterme à l'OCDE a été rendue possible par Joëlle Milquet. Il paraîtrait que c'est grâce aux bons résultats de la politique de l'emploi en Belgique, et notre ministre en est fière.

Heureusement, les enquêteurs du monde planétaire universel ont des archives ultra confidentielles qu'ils peuvent ouvrir de temps en temps. Et c'est, une fois de plus, sur Twitter que ces informations ont été écoulées au compte-goutte. C'est tout simplement sidérant, celle qui était laconiquement surnommée «madame Non» est en fait bienfaitrice de l'humanité #cestjoelle.

En effet, ils suffit de taper #cestjoelle dans la barre de recherche pour se rendre compte que sa notoriété et ses compétences ont largement dépassé les frontières linguistiques. Au départ, il y a son travail personnel : le cdh #cestjoelle, les oranges #cestjoelle , le jumelage avec le PS #cestjoelle, ou encore Benoît Lutgen #cestjoelle.

Personne ne le savait, cependant notre Joëlle nationale est présente sur tous les fronts, elle est de toutes les batailles. Elle a mis son nez partout afin de régler tous les problèmes du genre humain. Il faut dire que les négociations en Belgique lui ont donné une sacrée expérience. Parce que oui, le sauvetage de la Belgique #cestjoelle.

La bataille de Waterloo #cestjoelle, le pont de la rivière kwai #cestjoelle, le débarquement #cestjoelle, la capture de Saddam Hussein #cestjoelle. Elle a même été jusqu'au pakistan ! Plus de doute possible, le commando contre Oussama Ben Laden #cestjoelleaussi. Il paraît qu'on peut remonter jusqu'au sauvetage du peuple juif, car le partage des eaux#cetaitdejajoelle.

Les internautes témoins des actions de Joëlle Milquet nous ouvrent les yeux à la réalité. Le monde tourne #cestjoelle. Le big bang #cestjoelle. Les neutrinos qui vont plus vite que la vitesse de la lumière #cestjoelle. La théorie de la relativité #cestjoelle. Les bases de la physique quantique aussi #cestjoelle. Vous vous rendez compte, elle était là, sous les projecteurs et nous ne le savions pas.

La discretion #cestjoelle. L'abnégation #cestjoelle. La modestie, le mystère et la réserve de pudeur retenue, oui #cestjoelle. Est-ce que vos yeux s'ouvrent à l'émerveillement aussi? Le ciel bleu, le soleil, les étoiles #cestjoelle. Les petites fleurs, les papillons qui virevoltent, le papillon d'Elio aussi tiens, toutes ces belles choses #cestjoelle.

Ce que personne ne savait, c'est que le patrimoine belge #cestjoelle. Le grand Jojo, Plastic Bertrand ou encore Annie Cordy#cestjoelle! Tintin, Magritte, Horta #cestjoelle. Le Quick, Chez Léon ou encore les gaufres de Wafelman #cestjoelle! Walibi, les grottes de Han ou la cascade de Coo#cestjoelletoutça. Même Milquet#cestjoelle.

Le seul qui n'est pas content dans l'histoire, c'est Chuck Norris. Parce que qui fait le buzz mieux que Chuck ? #cestjoelle. Quand google ne trouve pas quelque chose, il demande à Chuck Norris, mais celle qui lui souffle la réponse #cestjoelle. Chuck Norris fait pleurer les oignons, mais celle qui le fait pleurer #cestjoelle.

Le buzz change de nom #cestjoelle.


L'origine du buzz c'est ici

Et on démarre une autre histoire....

Une page se tourne aujourd'hui avec la fin de mon blog en cet endroit. En effet, j'ai décidé de ne plus l'alimenter à cette adr...